Des engagements pour la Jeunesse: où en est-on?

Dans le cadre de son programme Yonnu Yokkuté, le Président de la République avait pris des engagements pour répondre aux préoccupations de la jeunesse sénégalaise
L’année 2018 a été décrétée par le Président de la République « année sociale » dans sa logique de mise en œuvre du PSE.
Pourtant, le Yonnu Yokuté avait déjà prévu un volet social à l’action du Président Sall. En effet, le programme YY a prévu dans ces engagements une rubrique intitulé « Retraités, Groupes vulnérables et Cherté de la vie ».
01/02/2019, 0
Dans le cadre de son programme Yonnu Yokkuté, le Président de la République avait pris des engagements pour répondre aux préoccupations de la jeunesse sénégalaise
Le malaise des Sénégalais quant à l’obtention d’une pièce d’identité nationale est encore très d’actualité
le 28/05/2018
La composition du nouveau gouvernement qui a suivi les résultats des élections du 30 juillet 2017 est sujette à beaucoup de critiques.
le 18/09/2017On nous a toujours appris que la connaissance s'acquiert suivant un processus de cumul de notions, de concepts divers que nous cherchons à capitaliser et mettre en pratique dans notre existence sous deux formes de savoir : Le savoir être et le savoir faire. Le savoir …
le 21/08/2017Dans une précédente contribution postée ici et non encore publiée, j'avais saisi l'occasion du débat soulevé par la décision du gouvernement de retirer les enfants de la rue, pour en parler, mais surtout de ce qu'il est convenu …
le 03/08/2016, 1 commentaireJ'ai beaucoup hésité avant de me décider à écrire cette contribution. Et cela pour beaucoup de raisons. Je n'en parlerai pas pour ne pas être trop long. Le sujet ici me tient particulièrement à coeur et c'est ce qui …
le 29/07/2016Ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement
Ministre de la Fonction Publique, de la Rationalisation des effectifs et du Renouveau du service public
Ministre de la Gouvernance Territoriale, du Développement et de l’Aménagement du Territoire
Ministre du Travail, du Dialogue social, des Organisations professionnelles et des Relations avec les institutions
Ministre de la Promotion des investissements, des Partenariats et du Développement des téléservices de l’Etat
Ministre de la Communication, des Télécommunications, des Postes et de l'Economie numérique
Ministre des Transports aériens et du Développement des Infrastructures Aéroportuaires
Ministre de la Jeunesse, de la Construction citoyenne et de la Promotion du Volontariat
Ministre de l'emploi, de l'Insertion professionnelle et de l'Intensification de la main d'oeuvre
Ministre Délégué auprès du Ministre de l’Economie et des Finances et du Plan, Chargé du Budget
Ministre délégué auprès Ministre des Infrastructures, des transports tereestres et du Désenclabement, chargé du Développement du Réseau Ferroviaire
Ministre délégué auprès Ministre de l'Agriculture et de l'Equipement rural, chargé de l'Accompagnement et de la Mutualisation des Organisations Paysannes
Dispositif de création de 500.000 emplois sur 7 ans par la mise en place d’un programme
d’appui au montage de projets et d’accompagnement des Jeunes entrepreneurs à travers le Fonds
de Garantie et d’Investissements Prioritaires (FONGIP) : en moyenne 30.000 projets seront
concernés chaque année
Réforme des contenus des programmes scolaires et universitaires ainsi que la professionnalisation
des parcours scolaires à partir du collège
Institutionnalisation de l’enseignement coranique avec un appui institutionnel, la formation des
maîtres coraniques, la modernisation des contenus, l’introduction de la formation professionnelle,
scientifique et technique et la mise en place d’un système d’équivalence avec le cursus classique
Création de Lycées Sport/Etudes accueillant les jeunes talents de toutes les régions du Sénégal issus des principaux sports
Construction d’une arène nationale de lutte et de complexes modernes omnisports dans chaque
région
Mise en place d’un système de financement du sport dans le cadre de la taxe pour service
universel
Instauration d’une Bourse de Sécurité Familiale, pour les mères des familles défavorisées,
conditionnée à des critères de revenus (250.000 familles environ sont concernées), d’inscription
et d’assiduité à l’école des enfants. Cela coûterait 25 milliards par an à l’Etat pour un montant
forfaitaire de 100.000 FCFA par an par famille et sera prise en charge par la CAPSU
Suivi systématique gratuit des femmes durant toute leur grossesse et prise en charge d’un
forfait obstétrical pendant toute la grossesse y compris un certain nombre d’échographies
obligatoires et planification familiale (dans le cadre de la Couverture Maladie Universelle de
Base prise en charge par la CAPSU)
Réforme du foncier rural pour permettre un financement de l’expansion de l’agriculture en
s’appuyant sur la loi agro-sylvo-pastorale et en différenciant le foncier industriel, touristique,
rural, agricole et urbain
Développement et facilitation des outils financiers par la mise en place du FONGIP pour les
exploitations agricoles familiales pour permettre la mécanisation, taille critique, création de petite
entreprise de transformation. La caution solidaire des coopératives socioprofessionnelles sera
reconnue.
Programme d’installation de forages et puits dans les villages, en impliquant particulièrement
les ASUFOR (Association des Usagers de forage) dans la mise en oeuvre avec comme objectif,
l’accès à l’eau potable partout sur le territoire national
Construction des principales pistes de production et des routes d’acheminement des produits
agricoles
Développement des « bassins de rétention » et amélioration de la qualité de l’eau via la dé
fluorisation dans certaines zones (bassin arachidier)
Mise en place d’une Bonification de Retraite 20 000 FCFA par trimestre pour les retraités ayant
droit. Cela coutera 5 milliards de FCFA par an.
Programme d’Insertion et de prise en charge des Handicapés dans le Système Educatif et dans le
monde du travail, en particulier dans l’administration
Mise en place d’un système de péréquation afin de régulariser et surtout de plafonner les prix du
riz, du sucre, de l’huile et du carburant
Création de 6 pôles* de développement économique
Recentrage des rôles de la Caisse des Dépôts et Consignation (CDC) et de ses objectifs de
mobilisation financière en cohérence avec l’enjeu ses mandats notamment l’habitat social
Programme annuel de restructuration des quartiers inondables et précaires dans les banlieues pour 21,5 milliards par an soit 150 milliards sur 7 ans. Ce dispositif concernera 1 million d’habitants.
Construction de logements sociaux (pour un budget de 300 milliards) accessibles également aux
individus sans revenu régulier via des groupements mobilisant une garantie par caution solidaire
Création/Réhabilitation des marchés incluant des infrastructures de stockage et de conservation
dans toutes les régions et y promouvoir via quota les productions agricoles ou maraîchères rurales ou périurbaines des producteurs et organisations paysannes
Désenclavement du Sénégal par la modernisation des principales routes départementales,
nationales notamment Tambacounda - Kayes et Tambacounda-Labé pour en faire des routes sousrégionales
modernes
Réhabilitation du chemin de fer KAYES – TAMBA - DAKAR
Construction d’un nouveau Port à Bargny
Construction du Pont de ROSSO et reconstruction du Pont Emile Badiane
Réhabilitation et modernisation des aéroports secondaires
Extension et réhabilitation du train bleu (Dakar – Thiaroye – Rufisque – Bargny - Thiès)
Création d’un Fonds de Garantie et d’Investissement Prioritaire (FONGIP) de 350 milliards
FCFA sur 7 ans (50 milliards par an en moyenne) pour permettre aux acteurs économiques
d’accéder au financement bancaire pour l’acquisition de gros matériels agricoles et avicoles
Réalisation d’infrastructures de stockage, de conservation, de conditionnement et de
transformation dans les marchés urbains et les départements ou pôles économiques
Aménagement de terres destinées spécifiquement et exclusivement pour la culture du maïs, du blé et du soja destinée principalement à l’approvisionnement des industries locales de production
d’aliments, de volailles, bétails
Remise à niveau des infrastructures de recherche sur l’agriculture : ISRA, CIRAT, etc..
Mise en place d’un système de Couverture Maladie Universelle de Base par la création d’une
Caisse Autonome de Protection Sociale Universelle (CAPSU) complétée par les Mutuelles
Communautaires et Socioprofessionnelles
Construction et équipement de 10 nouveaux hôpitaux de niveau régional et d’au moins d’un centre
de santé équipé dans chaque commune ou communauté rurale
Création d’une Office Nationale de Modernisation et de Maintenance des Equipements Sanitaires et Hospitaliers publics
Adoption d’un Plan National d’Approvisionnement en médicaments de base
Réforme des études de médecines pour l’adapter aux besoins quantitatifs du pays
Création dans chaque pôle, en Partenariat Public-Privé (PPP), de centres de formation
techniques et professionnels spécialisés pour les 6 pôles de développement retenus
Programme de formation dual (atelier, études) permettant à 300.000 apprentis déjà présents dans
le secteur informel de valider leurs compétences pratiques acquises et d’obtenir une qualification
Création dans chaque pôle, en Partenariat Public-Privé (PPP), d’une Université des métiers (Bac
+3) pour les 6 pôles de développement retenus
Développement des filières d’enseignement de pointe et pour « l’Offshore » en créant une zone
spéciale à Loumpoul suivant le modèle « Silicon Valley » en partenariat avec les industries et
centres de recherche nationaux, européens, américains et asiatiques
Intégration des diplômes de management et de gestion des entreprises dans les universités
publiques
Désengorgement de l’Université de Dakar en créant de nouvelles universités dans la banlieue
Remise en état des services de recherche-développement agricole et avicole nationaux
Augmentation progressive du Budget relatif à la Recherche et Développement avec un objectif de
0,5% Budget en 2015
Création d’un « Pacte Petites Entreprises et PME-PMI » intégrant les dispositifs d’appui aux
entreprises existants et les renforçant. Il ouvre notamment l’accès aux marchés publics et fixe des
quotas pour les PME ou les groupements de Micro et Petites entreprises dans la sous-traitance de
toutes entreprises publiques ou privés
Dispositif de création de 500.000 emplois sur 7 ans par la mise en place d’un programme
d’appui au montage de projets et d’accompagnement des Jeunes entrepreneurs à travers le Fonds de Garantie et d’Investissements Prioritaires (FONGIP) : en moyenne 30.000 projets seront
concernés chaque année notamment l’artisanat, l’agriculture et le tourisme
Promotion d’incubateurs et de couveuses ou maisons de l’entreprise dans tous les
départements mettant à disposition des locaux, des équipements et des services pour les petites
entreprises. Elles sont sélectionnées dans le cadre de concours « TALENTS D’AVENIR » par
secteur (agricole, élevage, pêche, artisanat, industriel, services, etc.)
Réforme du foncier rural avec adaptation des statuts juridiques des exploitations familiales agricoles
afin de sécuriser les droits fonciers des paysans
Investissements massifs dans l’aménagement et l’irrigation des terres cultivables ainsi que la
construction des principales pistes de production
Création dans chaque pôle économique intégrée de sociétés de prestations de services agricoles et
d’élevage (mécanisation, maintenance, stockage, conservation, commercialisation) en partenariat avec
le privé afin de professionnaliser et de mécaniser l’agriculture et de développer l’élevage pour
atteindre l’autosuffisance alimentaire
Dispositif de financement avec le Fonds de Garantie et d’Investissement Prioritaire (FONGIP) afin
de combler totalement le déficit de capacité d’investissement et de fonds de roulement des
agriculteurs, des éleveurs et des pêcheurs
Construction de centres de ravitaillement urbain afin que les villes jouent leur rôle de levier de
développement par rapport aux communautés rurales productrices
Développement de la pêche et de l’aquaculture par le financement des investissements structurants
et l’appui à la filière à travers le FONGIP
Mise à disposition des entreprises à fort potentiel de développement les moyens capitalistiques de
leur expansion (Raffinerie, Oléagineux, Cimenteries, Agroalimentaires, Télécoms, BTP, Médias,
etc.) en renforçant leur capital par la création d’un Fonds Souverain d’Investissement Stratégique
(FONSIS) de 250 MILLIARDS
Promotion d’une présence capitalistique minimale (25%) de privés nationaux dans les secteurs clé de l’économie nationale notamment les grandes industries minières, les cimenteries, les BTP…
Développement les industries intermédiaires (i.e produisant des biens de consommation
intermédiaire destinés aux entreprises) en partenariat avec le privé afin d’augmenter l’effet
d’entrainement de certains secteurs sur l’économie nationale et favoriser l’installation d’autres
industries
Modernisation du secteur de la menuiserie métallique et du bois afin de devenir plus compétitif
face aux acteurs clés mondiaux sur le marché national et sous-régional
Restructuration du secteur agroalimentaire afin de créer un champion sous-régional aux activités
diversifiées
Restructuration du secteur agroalimentaire afin de créer un champion sous-régional aux activités
diversifiées
300 milliards seront consacrés aux investissements touristiques sur 7 ans
Dispositif d’accompagnement (création de 500 000 emplois au niveau national) pour les jeunes
dans l’entreprenariat d’activités de loisirs et d’artisanat touristique.
Défiscalisation à 80% de la retraite des résidents étrangers (6 mois minimum de séjour)
originaires d’Europe, d’Asie et d’Amérique
Restructuration de la SAPCO en créant 5 structures indépendantes (Gorée et Lac Rose, Petites
côtes, Côtes Nord, Centre, et Côtes Casamançaises ayant chacune un cahier des charges spécifiques
selon le type de tourisme visé
Application effective de la tva à 10% pour les services touristiques en concertation avec les acteurs
en vue d’une plus grande compétitivité et d’emplois nouveaux
Abrogation du décret sur la surtaxe des appels internationaux tout en maintenant le contrôle des
volumes des appels entrants
Amélioration des infrastructures de télécommunications et de connectivité à l’Internet notamment
le renforcement de la coopération sous régionale pour les projets communs (satellites, fibres
optiques)
Promotion d’une présence capitalistique minimale (25%) de privés nationaux dans les secteurs clé de l’économie nationale notamment les grandes entreprises de Télécommunications, les
Banques…
Renforcement du Plan Stratégique TIC-TELECOMS – TELE SERVICES « SENEGAL VISION
2035 » avec tous les acteurs du secteur
Dégroupage de la boucle locale (libéralisation de l’utilisation de technologies alternatives,
Wireless, VoIP, CPL) et promotion de la pénétration du haut débit et même du très haut débit
Renégociations avec les 3 opérateurs présents pour leur donner des licences globales
Développement des industries de TIC (montage, assemblage de produits informatiques) en
encourageant l’émergence des petites entreprises spécialisées dans la fabrication de matériels
informatiques, de logiciels et des oeuvres multimédia et surtout de la saisie de données (un marché de plus de 3 milliards de dollars par an dans le monde)
Encadrement de l’âge des candidats à l’élection présidentielle dont l’âge minimum doit être 35 ans et celui maximum 70 ans le jour du scrutin du premier tour
Réforme du Conseil constitutionnel (passage de 5 à 7 membres dont 3 seront nommés par le
Président de la République parmi lesquels le Président du Conseil, 1 par la majorité parlementaire,
1 par l’opposition parlementaire et 2 par le Conseil Supérieur de la Magistrature)
Reforme de la Cour suprême et rétablissement de la Cour de Cassation, du Conseil d’Etat et de la
Cour des Comptes
Indicateur des domaines de la Constitution dont la révision requiert un référendum et de ceux qui
ne peuvent faire l’objet modification comme : la forme Républicaine de l’Etat et le nombre et la
durée du mandat
Referendum pour intégrer les révisions constitutionnelles ainsi du maintien ou de la suppression
du Sénat lors des prochaines législatives
Mise en place d’un Gouvernement de Rassemblement National de 25 ministres maximum
Réalisation d’un audit des comptes et des politiques publiques suivi d’un débat public
parlementaire sur les recommandations
Réduction du train de vie de la Présidence de la République sous contrôle de la Cour des comptes
et du Parlement
Rationalisation du voyage en 1er Classe pour les membres du gouvernement/administrations ainsi que des logements conventionnés. Des indemnités seront octroyés aux ayant droits
Rationalisation des Agences nationales et réforme de la carte diplomatique (suppression de 15
ambassades)
Suppression du cumul des mandats (entre toute fonction exécutive et toute fonction élective)
Déclaration du patrimoine des membres du gouvernement, des directeurs généraux des entreprises et des établissements et entreprises publics et rationalisation des salaires des dirigeants publics
Equité dans la presse publique et privée du temps de parole pour les partis représentés au
Parlement
Remboursement par l’Etat des dépenses des cinq premiers partis politiques (sous réserve d’avoir
fait au moins 10% des suffrages exprimés dans les élections présidentielles, législatives ou
municipales) et sur la base de la présentation des comptes annuels certifiés par les Commissaires aux comptes indépendants
Renforcement de l’indépendance des médias privés et appui technique et financier à leur
développement
Mise en oeuvre d’une démarche qualité dans tous les services de l’administration visant une
certification suivant des normes internationales de tous les services clés
« Déconcentration fonctionnelle » : Les grands ministères stratégiques auront leurs directions
générales à Dakar mais toutes les directions sectorielles seront réparties dans les régions
Communalisation : transformation de toutes les communautés rurales en « communes »
Evaluation des politiques de Décentralisation et étude de faisabilité de la création de conseil
départemental (conseil général)
Mise en Indépendance budgétaire de la Cour des comptes et élargissement de ses compétences
aux comptes de la Présidence de la République et du Parlement
Création du Haut Conseil pour la Promotion de la Démocratie et des Droits Humains (HCPDDH)
qui disposera des prérogatives de la CENA, du Conseil National de Régulation de l’Audiovisuel et
du Médiateur qui, par conséquent, seront supprimés
Elaboration d’un Programme national global sur la Prévention de la Corruption
Renforcement des organismes et corps de contrôle et de régulation (CNLCC, l’Inspection générale de l’État (IGE), la Cour des Comptes ou l’Agence de Régulation des Marchés Publics (ARMP)) et leur donner une autonomie budgétaire
Réforme de la loi n°81-17 du 6 mai 1981 relative aux partis politiques et encadrant leur
financement
Transposition immédiate dans le droit national de la Convention des Nations Unies contre la
corruption
Accord du droit de saisine de la justice pour la CNLCC ainsi que la Cour des Comptes en cas de
carence du parquet
Réforme de la procédure pénale en introduisant une plus grande automaticité des poursuites face
au principe de l’opportunité de la poursuite
Audit de toutes les mesures politiques et économiques mises en place après les différents accords de paix (1991, 2011) pour comprendre l’origine des blocages et y trouver des réponses adéquates
Indemnisation effective des victimes du JOOLA, des mines et de la guerre et prise en charge des
pupilles de la nation
Intégration des différentes factions du Mouvement des Forces Démocratiques de Casamance
(MFDC) dans la vie politique nationale
Positionnement de la Casamance en Pôle Economique d’Importance Internationale en créant
notamment une zone élargie de franchise industrielle
Réalisation d’un programme spécial de développement de la culture du riz de la Casamance pour
atteindre l’autosuffisance alimentaire nationale en riz
Désenclaver la Casamance par différentes voies de raccordement : pont sur le fleuve Gambie, voie
de contournement, reconstruction du pont Emile BADIANE
Promouvoir l’aménagement de nouvelles zones touristiques casamançaises et renforcer le
positionnement de la Cap Skring (réhabilitation des aéroports de Ziguinchor et du Cap Skring aux
normes des aéroports internationaux – Allongement des pistes, aérogares et systèmes de sécurité)
Construction d’un CHU sous régional doté des équipements les plus modernes et d’un institut de
recherche d’envergure continentale
Revoir des modes opératoires des forces de sécurité, renforcer leurs équipements et moyens
d’intervention dans le cadre de l’allocation d’un budget d’investissement annuel de 20 milliards
Modernisation des moyens d’action de l’Armée nationale et des forces de sécurité.
Revalorisation de la condition militaire et du lien Armée/Nation
Revalorisation et réhabilitation des écoles de formations militaires
Renforcement de la couverture sociale des militaires (santé, retraite) et dispositif de protection
sociale et de prise en charge des mutilés de guerre (CAPSU)
Amélioration des passerelles professionnelles entre les mondes civil et militaire par un système
d’équivalence qui favorisent la valorisation des connaissances acquis par les militaires
professionnels et offrent des débouchés civils
Faire des forces de défense un outil du véritable développement (Santé, Génie)
Continuation du processus d’intégration africaine en termes de sécurité et maintien de la paix
Renforcement des partenariats techniques et logistiques internationaux (France, USA, UE, pays
émergents)
Audit du nouvel accord de partenariat passé avec la France (et autres pays le cas «échéant).
Renforcement des capacités d’investigation et d’intervention des unités spécialisées dans la lutte
contre le trafic de drogue et le terrorisme
Poursuite des efforts pour une police de proximité et de sécurisation des sites touristiques.
Réforme des conditions d’obtention du permis de conduire et généralisation de l’obligation de
suivre une auto-école pour l’obtention du code de conduite
Réalisation de Grands projets régionaux (Energie, Routes, Chemins de fer)
Elaboration d’une Politique Agricole et d’Autosuffisance Alimentaire Commune (P3AC)
Candidature conjointe avec l’un des pays frères suivants – Mauritanie, Gambie ou Guinée-Bissau -
pour l'organisation de la CAN de football
Mise en oeuvre d’une Politique Agricole et d’Autosuffisance Alimentaire Commune (P3AC)
visant à l'autosuffisance alimentaire par l’achat privilégié dans le marché commun qui renforcera
nos industries et notre agriculture
Rationalisation de la carte diplomatique en redéployant et en renforçant notre personnel
diplomatique en Afrique et particulièrement dans les pays limitrophes afin de consolider les
partenariats stratégiques
Mise en place un Conseil des Affaires étrangères qui aide le chef de l'Etat à mieux définir puis
évaluer la politique étrangère
Soutien pour la position commune africaine du Consensus d’Ezulweni pour que le continent
africain obtienne deux sièges permanents au Conseil de sécurité de l’ONU
Promotion de la destination Sénégal par nos bureaux du tourisme et nos ambassades
Négociations à l’OMC avec l’ensemble des pays africains afin d’obtenir des règles commerciales
plus équitables pour protéger nos secteurs stratégiques (agriculture, pêche, industries de
transformation).
Mise en place des Maisons des Sénégalais de l´extérieur, espace de rencontre et de regroupement de la communauté sénégalaise
Elaboration d’une politique de la diaspora permettant un meilleur appui et meilleure mobilisation
et articulation des compétences et ressources de la diaspora dans les différents domaines de
politiques publiques (éducation, santé, emploi, etc.)
Négociations de nouveaux partenariats internationaux autour des migrations avec les pays du
Nord, mais aussi en directions des pays émergents. Renforcer la concertation avec les pays
limitrophes et en particulier le Mali sur les négociations migratoires avec l’Europe et les pays
membres
Mise en place de mécanismes facilitant les investissements des Sénégalais de l'extérieur au
Sénégal, dans des secteurs porteurs comme l'habitat, l'agriculture, la micro-finance avec la montée en puissance des différents dispositifs tels que le Fonds d'Appui à l'Investissement des Sénégalais de l'Extérieur (FAISE)
Suivi dans le temps de l'évolution des denrée de première nécessité
Informations fournies par les sites gouvernementaux